- Changer la couleur d’un objet, d’une de ses parties ou de son environnement.
- Changer la transparence d’un objet ou de son environnement.
- Ajouter additifs (colorés) pour observer un objet ou un processus difficile à évaluer.
- Si additifs déjà utilisés, utiliser « marqueurs » (luminescence ou fluorescence) pour détecter des changements.
Exemples :
- pansement ou bandage transparent permettant d’examiner une plaie
- lumière rouge dans chambre de développement (photos)
- lumière jaune (pour réduire quantité d’ultraviolets) notamment lors de la fabrication de semi-conducteurs
- microscope polarisant
- marquages routiers luminescents
- marquages fluorescents détectés par la lumière ultraviolette (application notamment en médecine)
- commandes « grisées » (semi-transparentes) dans les menus de logiciels indiquant qu’elles ne sont pas actionnables
- hyperliens déjà activés apparaissant dans une couleur différente des hyperliens pas encore visités
- utilisation de couleurs différentes pour favoriser repérage ou classification rapide ; ex : « boîte noire » des avions qui est … orange
- thermochromisme : détection de variations de température à l’aide de matériaux qui changent de couleur dans des intervalles de température prédéfinis
- sécurité bâtiments : diffusion d’un brouillard en cas d’intrusion
- détection de fuites (ex : air conditionné) via ajout d’un colorant dans le liquide ou gaz
- parapluie transparent
- piste cyclable colorée
- sécurité passive augmentée par l’emploi de couleurs particulièrement voyantes (ex : casque jaune fluo)
- coloration du gazole (diesel) routier pour le distinguer et le taxer différemment du fioul de chauffage
- peinture changeant de teinte en cas de corrosion (détection visuelle de la rouille ; en aviation notamment)
- papier thermique (ex : télécopieur)
- enzymes produisant de la lumière pour détecter les impuretés
- couverts thermosensibles (changement de couleur si T° élevée)
- restaurant avec cuisine ouverte / visible