Les véhicules autonomes n’appartiennent plus à la science-fiction, ils sont en train en route vers notre quotidien propulsé par une fiabilité sans cesse améliorée grâce, notamment, à l’intelligence artificielle.
Pour l’heure, le système et le super système ne sont pas encore parfaits – le seront-ils d’ailleurs un jour ? – il subsiste et subsistera des risques d’accidents ou d’incidents. Par ailleurs, la conduite automatisée doit être prise en compte par les autres usagers. Alors comment (sa)voir qu’un véhicule opère de manière autonome ?
Bien vu de la part de Mercedes-Benz avec cette application du principe TRIZ n°32 : des feux de circulation de couleur turquoise qui s’activent quand la voiture est en mode pilote automatique.
Une petite innovation fonctionnelle qui demande maintenant à être adoptée par les autres constructeurs au risque de ne pas décoller.
Soyons optimistes. Soyons également ambitieux en cherchant à en faire plus ; un concasseur d’idées peut ainsi nous amener à élargir les applications. Ce système pourrait probablement signaler visuellement d’autres conduites à risques : conduite sous influence (alcool ou stupéfiants) ou conduite imprudente (ex : conducteur fatigué ou distrait par son smartphone).
A demain ?